Depuis: Comité de quartier Febvotte Marat
Regardons une page blanche, avec ou sans lignes, avec ou sans carreaux, grands ou petits. Elle semble banale, plate, sans relief.
En réalité elle contient une infinité de récits qui ne demandent qu’à exister.
Il y a là de quoi ressentir un léger vertige.
Alors comment faire ? Comment surmonter ce vertige, plus communément appelé « syndrome de la page blanche » ?
C’est très facile. Il suffit de partir d’une consigne : une citation, une phrase prise au hasard, on se sait où, un ou deux ou trois mots, une idée…
On y ajoute une ou deux contraintes :
- Contrainte de temps « Vous avez une, deux, trois, dix minutes… »
- Contrainte de style : « À la manière de… »
Et hop ! c’est parti ! Le vertige se dissipe et on écrit. Et il en sort TOUJOURS quelque chose !
OUI, écrire « sous la contrainte » est un excellent moyen d’exercer sa créativité et sa liberté d’écrire.
Et ensuite vient le plaisir de partager, d’écouter et faire écouter.
Envie de vous frotter à cet exercice ?
N’hésitez pas ! venez nous rejoindre !
